La mission de la Table d’action contre l’appauvrissement de l’Estrie (TACAE) est de s’attaquer aux causes de l’appauvrissement de la population estrienne.
1. Sensibiliser la population et les instances décisionnelles (politiques et économiques) au problème de l’appauvrissement.
2. Interpeller les instances décisionnelles afin qu’elles s’impliquent dans des projets visant une plus grande justice sociale.
3. Encourager la collaboration et la concertation entre les organismes dans le travail contre la pauvreté.
4. Dénoncer les injustices sociales reliées à la pauvreté.
Au printemps 1990, devant la hausse de demande dans les ressources d’aide alimentaire, plusieurs organismes travaillant à l’amélioration des conditions de vie des personnes à faibles revenus décident de s’unir afin de constituer une force dans la lutte contre la pauvreté.
La TACAE devient alors un lieu de concertation où les organismes se solidarisent dans leurs actions en faveur des personnes victimes de l’appauvrissement dans notre région. En 2023 la table regroupe 35 membres actifs et sympathisants.
La TACAE travaille également à la mise à jour de ses revendications et de ses outils de communication dans le cadre d’une planification stratégique!
Dans le cadre de sa mission, l’équipe de la TACAE offre des formations, cliquez ici pour en savoir plus!
Nous aimerions souligner et reconnaitre que les terres sur lesquelles nous nous trouvons, le Ndakina, font partie du territoire traditionnel non cédé de la nation Abénaquis, de la confédération W8banaki. Par ces lignes, nous reconnaissons les conséquences du colonialisme qui marquent encore aujourd’hui les membres des Peuples autochtones. Le colonialisme est l’un des nombreux systèmes d’oppression qui engendrent des violences sur de nombreuses populations marginalisées au Québec et à travers le monde.
Nous sommes conscients que le poids d’un paragraphe sur cet enjeu vital changera peu les choses, mais c’est en identifiant et en nommant les problèmes que nous pouvons les cibler et c’est en les ciblant que l’on peut y remédier.